19 décembre 2009

méthodes et façons de faire

Hélène Bruller, dans "Je veux le Prince Charmant", explique qu'il y a deux vraies différences entre les hommes et les femmes, qui sont 1/ la façon d'enlever un pull-over et 2/ la façon d'enfiler les collants. Pour le second point, je n'ai pas pu expérimenter, pour le premier, on va en parler un peu. D'après elle, les hommes enlèvent leur pull en l'attrapant par le dos du col, créant ainsi au fil du temps une déformation qui finira par avoir l'allure d'une capuche, tandis que le femmes enlèvent "une manche, puis le col, puis l'autre manche". Si au collège, j'ai beaucoup pratiqué le "enlever son T-shirt sans qu'on voie mon soutif", comme la plupart des filles dans les vestiaires de gym, j'ai en revanche gardé pour les pulls, la plupart du temps, la méthode enseignée par ma maman : on croise les bras, on attrape le bas du vêtement, on tire en levant les bras. Certes, on retourne son pull (ou son T-shirt) et il faudra donc un peu plus de temps pour le plier, mais au moins on évite de faire un trou sous les bras. Parce que, après avoir lu cette BD avec moi et avoir très bien perçu le reproche de l'auteur fait aux hommes, il a expérimenté la méthode "des femmes" et, comme ça m'est aussi arrivé aussi, Samuel a troué un pull. Il m'a donc demandé comment je faisais, moi. Promis, il va s'entraîner. Et si vous vous sentez concerné, vous devriez en faire autant.

3 commentaires:

Dadou a dit…

Je proteste : elle dit n'importe quoi ta Hélène Bruller. Les hommes, ils enlèvent la manche droite, puis la manche gauche, et ensuite ils tirent le pull très rapidement par le col. Tu sais pourquoi ??? Parce que, comme ça, ça ne défait pas la coiffure "David Guetta" qu'ils mettent 10 minutes à se faire le matin...

Sam a dit…

Sauf que ça fait des trous sous les manches ou au niveau du colle (je le sais ça me fait ça moi aussi).

laviollette a dit…

Elle parle de son homme en même temps, chacun a sa technique. Et puis il y a ceux qui attrapent le dos du col sans le déformer... mais qui montrent ainsi leurs omoplates à tout un chacun.