18 juillet 2010

Venise, lundi 5 juillet

Se lever tôt est impossible ce matin. Nous arrivons donc tout juste à l’ouverture du palais ducal, à 9h, sans avoir petit déjeuné. Nous n’avons pas faim, ça tombe bien. Il y a peu de monde sur la Place Saint Marc, sera-ce la bonne heure demain matin pour la visite de la basilique Saint Marc ? Nous verrons bien. Nos billets prépayés nous permettent de passer devant tout le monde. La visite est longue, mais on est à l’ombre et on marche, peu de stations debout. Il y a des pièces plus grandes que notre appartement, il y en a même une où on pourrait en faire tenir plus de 10… bon, chez nous on passe moins de temps à faire le ménage… Les photos sont interdites dans les bâtiments, mais pas dans la cour, où justement la lumière permet de belles prises de vues.

Nous sortons à 10h30, tranquillement, à la recherche du Palazzo Contarini. Nous savons que le palais est fermé, mais aussi que l’escalier, remarquable, en colimaçon (Borsolo signifie « escargot » explique une guide à des anglophones au moment où nous le trouvons) est visible de l’extérieur. Une petite rue étroite, une cour intérieure… Nous passons aussi devant la Fenice, en nous dirigeant vers San Stefano. Il n’est pas midi lorsque nous nous installons à la terrasse d’Al Angolo. Une bonne petite salade, juste ce qu’il nous fallait !

Après la sieste, nous partons à la recherche de Ca’Pezzaro et du Palazzo Mocenigo. Peine perdue, ils sont tous les deux fermés le lundi. Tant pis. Nous cherchons plutôt ce glacier « Alaska » qui, d’après notre guide, propose des parfums originaux comme carotte, fenouil ou céleri. Il est facile à trouver au moins, et à défaut des parfums suscités, j’aurais droit à rose et orange-roquette. C’est délicieux, et il propose bien sûr aussi des parfums plus classiques qui plaisent à Samuel. Et pour bien moins cher que les glaciers « normaux » le long du canal. Nous passons également acheter des « dolci » pour nos familles.

Le soir nous retournons manger à da Alberto, je déguste de la morue « alla Vicenta » tandis que Samuel a droit à des spaghetti aux écrevisses, il est content même si ce n’est pas ce qu’il avait compris.

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